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 Le livre de l'histoire de Keikoku

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AuteurMessage
Keikoku
Invité




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MessageSujet: Le livre de l'histoire de Keikoku   Le livre de l'histoire de Keikoku Icon_minitimeJeu 11 Jan - 13:06

Keikoku, appret avoir parler avec Amanda, décida d'ecrire un livre sur sa propre vie.

*Ouais, il sera pas très grand, mais bon, c'est mieux que rien... *

"Bon... par quoi je vais bien pouvoir commencer...."

Il sortit sa plume d'encre de chine et se mit à écrire...
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Keikoku
Invité




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MessageSujet: Re: Le livre de l'histoire de Keikoku   Le livre de l'histoire de Keikoku Icon_minitimeJeu 11 Jan - 14:05

*Ouais, je vais l'ecrire en "je", c'est plus facile...*

Je ne me rappelle de mon début qu'a partir de 4 à 5 ans. Avant, c'est des souvenirs, soit traumatisant, sois très marquants. Comme par exemple, le jours ou mon père a assassiner des "représentants de l'ordre" à cup de poignard, puis les a fait bruler avec une compétence, qui même aujourd'hui, m'est inconnue.

Bref, tout cela pour dire que mes parents ne m'ont jamais éduqué avec les besoins primordiales d'un enfant, autrement dit: L'amour, la compassion, et la protection.

Je suis né dans une famille de voleurs professionels. Ils détenaient ous des capacités spéciales qui les aidaient pour le vol. Moi je n'en avait pas hérité. Certainement parce que j'ai voulu, au fond de moi, m'éloigner le plus possible de ces trous du culs...

De 4 à 7 ans

Mes parents m'ont immédiatements appris à marcher silencieusement. Enfait, je n'arrivemême plus aujourd'hui à marcher normalement. Mes premiers pas ont étés des pas de voleurs. M es parents avaient en tête de faire de moi "La meilleur machine de vol du monde." Autrent vous dire tout de suite qu'ils ont certainement réussis...

Chaque jours, mes parents me forçaient à apprendre de nouvelles technique pour être silencieux, pour mentir, pour fuir, pour résister à la fin, à la soif. Pour ne jamais réveler des infos importantes. Bref, un entrainements normalement impossible pour un enfant de 5-6 ans.
Pourtant, j'y ai été forcé. Du coup, à l'age de 7 ans, je savais déjà voler ce que je voulais dans n'importe quel magasin de n'importe quel quartier, riche ou pauvre.

Moi, durant ces entrainement, je n'arettais pas de leur dire que ce n'était pas la ve que je voulais. Que je voulais aller à l'école, comme les autres enfants. Que je voulais me faire des amis. Apprendre ce que c'est la sosciabilité, savoir comment regarder une choise sans avoir à l'analyser méthodiquement. Bref, être simplement normal. Résultat:
Je me suis fait battre des centaines et des centaines de fois, rien que parce que je demandais à être normal. Mes parents ont très souvent faillit me tuer. Après m'avoir battu, il me laissait agoniser sur le sol pour que j'apprenne à ressentir "des douleurs courentes"...

Pour éviter de sombrer entièrement dans la folie et la souffrance, j'ai décider de créer l'instrument que j'ai d'ailleur présenter dans mon cours. J'avais pu entendre un jours, ma "mère" jouer de la flute dans la maison. Enfait je crois que c'était une couverture pour masquer je ne sais plus quoi, bref, elle ne jouait pas pour le plaisir. Mais disons que c'est le premier son que j'entendais de ma vie qui était véritablement plaisant. J'ai d'abord recreer une flute traditionnelle, et j'ai appris à en jouer après avoir voler un bouquin de musique.

Bien entendu, je devais en jouer en cachette pour ne pas me faire frapper par mes parents. C'était d'ailleur très difficile. Mes parents me surveillaient beaucoup...

mais finalement, je me suis rendu compte que beaucoup d'animaux vivaient dans la cave de la maison. Quelques insectes, des mulots, parfois un rat... Et la je me suisrendu compte que les bête étaient bien plus ouvertes que l'homme...

Vu que je ne conaissais que la flutte à ce moment là, je n'ai pas penser à utiliser autre chose comme instrument (de musique ou non). J'ai confectonner après des jours et des jours (6-7 ans précisemment) pour confectionner ma première flutte. Je l'avais conçue dans le but d'entrer en contacte, de simplement communiquer avec les bêtes. C'était pour moi, la seule chance de pouvoir trouver un but à ma vie. Et c'était effecivement le cas, car travailler dessus me permettait de tenir le coup.

De 8 à 11 ans

Depuis cet age là, je me rappelle mieux de ce que j'ai vécu... Mes parents ont commencer à partir de cet age là à aller voler chez les gens. C'était particulièrement insuportable à mes yeux. Devoir pénetrer par infraction dans le sanctuaire des gens, voler tout ce qu'ils considèrent important à leur yeux et repartir. C'était absolument abominable!

Pendant tout une année, mes parents m'ont surveiller pour que j'aie voler avec eux. En tout, on volait à peux près une maison par semaine. Soit environ 52 en 1 ans. (Autent dire que c'est énorme). De plus, nous avons souvent du déménager pour pouvoir assurer notre couverture (à peu près toute les 2-3 semaine, on changeait d'habitat... Donc nous vivions souvent dans un hotel.)

Mais pendant ce temps là, je continuais à améliorer les capacités de ma flutte. J'ai hélas du souvent me recevoir des tortures mentales et même physique durant as conception qui m'ont vallu bien des problème. La pire, c'est lorsqu'elle m'a provoquer une crise d'épilépsie. Heureusement, j'ai survécu, et sans que mes parents aperçoivent la crise.

A l'age de 9 ans, j'ai du tuer ma première personne. Et je le dis bien net, je m'en voulu extrémement. Les "forces de l'ordre" ont un jour, pénétrés dans la maison. Ils étaient trois. Une altércation s'est produite entre mes parents, qui abbatirent l'un d entre eux. Après avoir étés maitrisé par "les forces de l'ordre", mes parents furent emmenés dans le couloir. Mais en passant devant moi, mon père me lança un tel regard de violence ue j'ai crut qu'il allait me tuer.

Jeune et relativement inconscient, je croyais vraiment qu'il aurait pu me faire du mal. J'ai donc sauter sur l'un des "policiers" et j'en ai égorger 1. Le dernier fut achevé par mes parents. Mon père me remercia à sa manière, c'est à dire qu'il me permettait à présent d'avoir une activité personnelle.

Mais cette permission m'arrengeait particulièrement. Je choisit la musique. Il me vola donc une flutte et permit d'y jouer. Bien entendu, je n'y jouait pas. E réalité, je perfectionnait la mienne. Mais vu que mon "père" n'aimait pas le son de la flutte traditionnel, il m'enfermait dans la cave pour ne pas l'entendre. Ainsi, je pouvais travailler sans peine sur mon travail.

Mais j'ai hélas du abattre encore 4 "policiers" à l'age de 9 ans. Principalement pour couvrir la fuite de mes parents. Mes parents étaient tout contents d'avoir un fils efficace et sans remord qui couvrait leur fuite.

D'ailleurs, ces derniers me firent voir quelque chose qui allait ralentir ma fuite de chez eux. Un jours, en couvrant leur fuite je fut aretter par l'un des policiers. Mes parents, qui enfait, avaient peur de devoir laisser un fils si bien entrainé, risquèrent leur vie pour pouvoir me récupérer. Et ces connards avaient réussi à me procurer la plus grosse illusion du siècle.

Lorsqu'ils "me sauvèrent" j'ai eut l'impression que c'était parce qu'il avaient malgré tout un peu de sentiments à mon égard. Et j'était hélas, complétement dans le faux...

Je m'en suis aperçut à l'age de 11 ans que cette illusion était particulièrement infame. Enfait, j'ai surpris l'une de leur conversation. ils avaient dit un truc dans le genre "Heureusement que nous avons un jouet utile... Sale gosse! Parfois, il nous poe bien des problèmes!".

Fou de rage, je sautait au cou de mon père et je lui plantait un couteau dans l'épaule. Il avait eut si peur de mourir qu'il me prmit de pouvoir sortir quand je le voulais vers l'extérieur, chose que je pouvais bien evidemment, pas faire.

Juste pour gouter à ce plaisir, je me retint de le tuer. Et chose encore plus inimaginable, mon "père" avait tenu sa promesse. Je pouvais sortir vers l'éxtérieur quand je le voulais. J'essayait donc de me faire des amis. Mais je me rendait vite compte que j'était ue personne complétement décalée...


Je ne savais absolument rien du sociale


De 12 à 14 ans

Du coup, j'ai finit par me faire des amis comme les rejetés s'en font: En les achetants. Par exemple, je me suis fait un ami qui était enfait un Dönner Kebab. Je pouvait venir le voir quand je voulais, travailler un peu pour lui et discuter avec lui, mais en échange, je devais lui trouver des présérvaifs en grande quantités.

Bien sur, j'allais en voler dans les distributeurs. Rien de plus facile que de dévisser la protection de la "caisse du distributeur", la replacer après avoir pris toute les pièces, et acheter des présérvatifs avec. Je les lui amenait tout les jours. D'ailleur, je me demande comment il pouvait en dépenser autent. Surement qu'il les revendaient..: Enfin je vois mal comment utiliser plus de 50 présérvatifs en une journée, surtout quand on finit son travail à 6 heures...

A 13 ans, je commençait vraiment à finaliser ma flutte, et j'ai même commencer à comprendre parfaitement le fonctionnement. Bon, bien sur, mes parents ont continués à me faire voler des choses... J'avais plus un seul moment à moi après... On voulait presque trois fois par jours, dans des endroits différents.

Mais à l'age de 14, ce fut la véritable révélation. J'ai finit par terminer mon instrument. J'ai finit par comprendre parfaitement son fonctionnement, et j'ai enfin finit par parlementer avec les animaux. C'était comme si je venait d'avoir des milliers d'amis. Les animaux étaient tellement plus récéptifs que les êtres humains. Ils me répndaient, me parlaient, m'apprenait... J'ai appris tout ce que je devais apprendre au niveau sociale grace aux animaux. Mais le problème, c'est que les animaux n'ont pas le même point de vue sociale que les être humains... Enfin, j'avais quand même réussit à avoir des "amis". C'était le point important.

De 15 à 16 ans

Pendant tous mes 15 ans, j'ai passer des journées entières à parler aux animaux (et bien sur, voler...) Grace à mon instrument, j'avais réussit à leur transmettre mon entière mémoire d'un seul coup. Tous les insectes à qui j'avais appliquer ce procédé pouvaient à ce moment là, lire, mais hélas pas parler, car le systhème des cordes vocales animalières n'est pas fait pour cela. Cependant, ils pouvaient directement comprendre le language humain. Ainsi, ils pouvaient m'aider à savoir des tas de choses concernants mes abominables parents. Pendant 1 ans, j'ai récoltés les infos obtenues graces à mes amis pour pouvoir les retranscrires sur des feuilles de papier. Cela me prit énormément de temps et j'ai du souvent voyager. Transporter partout un insecte sur soi devient extrémement difficile. je devais donc faire attention au moindre de mes gestes.

Finalement, j'ai fini par recueillir assez d'informations pour pouvoir transmettre ces papiers à la police. Ceux-ci comportaient plus de 225 pages A4 comportant leur déplacement, els heures exactes de leurs plants, les endoits ou ils sont allés, lles objets qu'ils avaient volés, l'endroit ou ils les avaient vendus, l'endroits ou ils avaient déménagés, et aussi toute la description physique et mentale de mes parents, ainsi que leur nom, prénom, nom de famille. (MAlheureusement, je n'ai pas pus avoir leur empreinte digitale et leur groupe sanguin, car bien trop difficile...).


Mais c'est là que tout à basculer. Mes parents, d'une manière ou d'une autre, ont appris que j'avais déposer ces papiers. Surement que, malgrés les efforts fournis pour être "libre", ils avaient engager des personnes qui faisaient une filature constante de mes déplacements. Du coup, à leure dernière opération, ils ont laisser un tas de fausses preuves qui aurait démontré que j'aurais été le compliuce directe de tout leur crime.

C'est ainsi qu'ils m'emmenèrent dans ce pensionnat. MAis par chance, la loie à décder que j'héritait du compte banquaire de mes parents. (Mais par précaution, je me suis fait un stock de 25'000 sur le mien, juste avant leur dernier vol...)

J'arrivait donc dans ce pensionnat, ou je pouvais enfin.... enfin avoir des relations normales, bien que j'était complétement différent de toute les personnes ici présente... Enfin, espérons que je m'adapte rapidement, bien que les souvenirs de ma famille résteront à jamais gravés dans mon âme...

FIN...
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